Public, j’ai besoin de toi (surtout si tu as un blog très visité)

Cher mon lecteur, j’espère que tout va pour le mieux. Tu le sais puisque tu lis ces lignes, le roman « Trois ombres au soleil » se cherche un public. Il en a déjà trouvé un, encore restreint mais déjà fidèle, toi. Désormais, il est temps que d’autres gens, qui jusqu’ici ne soupçonnent même pas notre existence, sachent que nous existons, toi cher mon lecteur et moi. Toi et moi, nous formons un tout, un nous fidèle et inséparable, prêt à se sacrifier l’un pour l’autre, prêt à traverser les tempêtes, bref un nous qui peut renverser des montagnes. Et c’est une bonne nouvelle car devant nous se dresse désormais la plus grande des montagnes de notre quête : l’ANONYMAT.

Je fais ce que je peux pour me débattre cher mon lecteur mais seul, ce n’est jamais que deux yeux, deux mains, deux pieds et un seul cerveau à la fois. Imagine qu’Obama en 2008 ait dû aller frapper lui-même à la porte de centaines de millions d’Américains, non Obama n’aurait jamais été élu President of the United States of America sans ces milliers de chers ses électeurs qui battaient le pavé, des tracts à la main. Obama a gagné grâce à eux, grâce à ses militants qui parlaient en son nom pour convaincre d’autres gens, de ces autres qui ne savaient pas encore. Bon, je n’ai pas décidé d’être président des Etats-Unis, rassure-toi cher mon lecteur. Ceci était une métaphore. Seul, pour toucher les foules, pour briser les chaines de l’anonymat, on n’est rien, ou si peu. 

Tu l’as compris, c’est maintenant que j’ai besoin de toi. Il y a grosso modo trois possibilités de creuser une brèche dans cette roche solide qu’est l’anonymat. Premièrement tu peux parler de ce roman autour de toi. Au compte goutte. A l’occasion. Ton avis importe auprès des gens que tu fréquentes cher mon lecteur, n’oublie jamais ça. Deuxièmement, tu peux profiter de ton influence sur les réseaux sociaux divers et variés pour parler, à l’occasion, de nous. De toi et de moi. De notre histoire en commun – oui cher mon lecteur à partir du moment où tu lis quelques lignes de Trois ombres au soleil, nous avons une histoire en commun. De facebook, de twitter, de notre magnifique site. Et enfin, la trouvaille de ces derniers jours, c’est le blog littéraire. Si tu as un blog littéraire, tu peux accélérer tout ce processus par 10, ta critique et ta légitimité de bloggueur face à tes nombreux visiteurs, c’est directement de la dynamite dans le flanc de la montagne. 

Sans toi je ne suis rien cher mon lecteur. Alors cette putain de montagne, on va la dézinguer ensemble.

PS : Voici le quatrième de couverture de Trois ombres au soleil (277 pages) pour les blogueurs qui se tateraient encore.

 

La ville. 

Ses nuits. 
Sa solitude. 

A peine débarqué, il en ressent une violence agressive.
Depuis des années, elle s’y est habituée. Un peu trop.
Et Sonia, qui laisse trainer sa blondeur éclatante sous les néons du métro.

Puis un détonateur.

Il va croire à l’amour, avec cette fille qui appartient à la ville.
Elle réalise qu’elle est encore affamée de vie. 

Et des messages anonymes vaguement menaçants vont finir de venir bouleverser les vies.

Tout était à l’indifférence. Pourtant, des bouts de papier, des choix, des hasards m’ont fait comprendre que tout est possible quand rien n’est fini.

Trois ombres dans la ville. Trois ombres dans la nuit. Trois ombres au soleil.

 

Cela dit, ne te tâte pas trop, ce n’est qu’une lecture. Même si tu la détestes, ce n’est qu’une lecture. Et puis Amélie Nothomb n’a plus besoin de toi. Moi, si. J’attends ton mail…)

 

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