Road trip à mobylette avec deux ânes sur la selle arrière
Ca se passait ce dimanche, quelque part en Wallonie. Je me suis levé vers 8h, j’ai regardé le thème imposé de la matinale en cavale sur shortedition « road trip en mobylette », j’ai déjeuné et je suis sorti, le soleil était haut et il faisait chaud, au milieu des prés, avec ma Gracia Deluxe et mes deux co-scénaristes (si tu ne connais pas l’âne cher mon lecteur, sache que c’est un animal très curieux, un peu envahissant et très chaleureux qui recherche avant tout le contact physique de ta compagnie).
J’ai écrit Michele, fils prodigue, tu peux lire le texte, voter si le coeur t’en dit et me dire ce que t’en penses. Je ferai mon auto-critique après avoir lu quelques uns de tes commentaires. Ca y est, j’ai réécrit mais ça ne venait pas encore du fond des entrailles. Et puis j’ai été très surpris en réalisant que l’album de CocoRosie qui avait accompagné toute l’écriture de mon dernier manuscrit Quand les ânes de la colline sont devenus barbus et que je croyais être une source d’inspiration émotionnelle inépuisable, m’a laissé de marbre. Les temps changent cher mon lecteur, les temps changent. Mais ne te laisse pas distraire et vote. Et je t’offre un verre de Lacryma Christi. Salute.
